14-07-2017, 08:34 PM
J'ai un peu parcouru ce qui précède.
La bourse simplifiée Air Carrier comme je la vois...
La valeur servant à déterminée le prix de l'action serait constituée : valeur de la flotte (y compris les moteurs) + valeur des lignes et des hubs (sauf hub principal) + les fonds (si négatif on déduit) + la valeur des actions étrangères détenues - les emprunts - les emprunts contractés en cours de livraison ; à cela on pourrait appliquer un correctif à déterminer afin de permettre aux jeunes compagnies de pouvoir vendre leurs actions et d'en récupérer en contrepartie une certaine valeur en $, car dans les simulations que j'ai faites les jeunes cies sont exclues du système de bourse tellement la valeur de l'action est ridicule.
On pourrait convertir le capital en 100 actions par exemple pour la simplicité.
Comme nous sommes dans un jeu de gestion de cies aériennes, l'objectif pour une cie étant de lever des fonds, il ne me paraît pas génial qu'un joueur puisse perdre le contrôle de sa cie, alors pour éviter ce genre d'inconvénient, on limiterait la vente des actions à 49, ainsi le joueur détiendrait quoiqu'il arrive les 51 actions restantes.
Maintenant le fonctionnement des échanges en bourse concernant la vente directe d'action :
le prix de l'action serait déterminé sur la valeur de la cie le jour précédent. les échanges se faisant dans la journée seraient basés sur ce prix unique de l'action. Le lendemain la machine calculerait la nouvelle valeur. Et ainsi de suite.
Avantage pour le joueur achetant une action d'un autre joueur : ponctionner 1 % du résultat de la cie dont il détient l'action, le paiement pourrait se faire une fois par semaine par exemple. (comme 100 actions égal 100 %, 1 action égal 1 %, je précise pour ceux qui n'aurait pas fait le lien)
Avantage pour le vendeur : acquérir des fonds.
Revente de l'action détenue ou vente indirecte : un droit de préférence serait donné au joueur ayant vendu sa propre action, ce droit équivaudrait à la valeur de l'action le jour de la vente majoré de 10 % (par exemple), cette proposition lui serait faite en exclusivité, cette exclusivité reste à déterminer (1 jour ou 1 semaine par exemple), si le joueur déclinait l'offre d'exclusivité, alors l'action serait revendue en bourse, s'enclencherait alors une enchère sur un jour ou une semaine par exemple. La valeur de référence de l'action en vente serait la valeur de l'action le jour précédent sa mise en vente. L'enchère pourrait aller en hausse comme en baisse par rapport au prix de base. Le joueur faisant la meilleure offre remporterait l'enchère et l'acquisition lui serait faite le lendemain, mais la valeur de base comme déterminée plus haut resterait la règle après l'achat. Bien entendu le joueur de la compagnie dont l'action est en vente pourrait aussi participer à l'enchère, mais il n'aurait plus l'exclusivité.
La comptabilisation de l'achat ou la vente d'actions dans la valeur de la cie acquéreuse ou vendeuse serait la valeur réelle (ou de base) du cours de l'action et non pas la valeur d'achat ou de vente payée.
Voilà, c'est fini ou presque....
Il pourrait y avoir également en plus une cinquième banque dédiée à l'achat/vente d'actions, mais, je pense qu'Eddy a une petite idée sur cette idée^^
La bourse simplifiée Air Carrier comme je la vois...
La valeur servant à déterminée le prix de l'action serait constituée : valeur de la flotte (y compris les moteurs) + valeur des lignes et des hubs (sauf hub principal) + les fonds (si négatif on déduit) + la valeur des actions étrangères détenues - les emprunts - les emprunts contractés en cours de livraison ; à cela on pourrait appliquer un correctif à déterminer afin de permettre aux jeunes compagnies de pouvoir vendre leurs actions et d'en récupérer en contrepartie une certaine valeur en $, car dans les simulations que j'ai faites les jeunes cies sont exclues du système de bourse tellement la valeur de l'action est ridicule.
On pourrait convertir le capital en 100 actions par exemple pour la simplicité.
Comme nous sommes dans un jeu de gestion de cies aériennes, l'objectif pour une cie étant de lever des fonds, il ne me paraît pas génial qu'un joueur puisse perdre le contrôle de sa cie, alors pour éviter ce genre d'inconvénient, on limiterait la vente des actions à 49, ainsi le joueur détiendrait quoiqu'il arrive les 51 actions restantes.
Maintenant le fonctionnement des échanges en bourse concernant la vente directe d'action :
le prix de l'action serait déterminé sur la valeur de la cie le jour précédent. les échanges se faisant dans la journée seraient basés sur ce prix unique de l'action. Le lendemain la machine calculerait la nouvelle valeur. Et ainsi de suite.
Avantage pour le joueur achetant une action d'un autre joueur : ponctionner 1 % du résultat de la cie dont il détient l'action, le paiement pourrait se faire une fois par semaine par exemple. (comme 100 actions égal 100 %, 1 action égal 1 %, je précise pour ceux qui n'aurait pas fait le lien)
Avantage pour le vendeur : acquérir des fonds.
Revente de l'action détenue ou vente indirecte : un droit de préférence serait donné au joueur ayant vendu sa propre action, ce droit équivaudrait à la valeur de l'action le jour de la vente majoré de 10 % (par exemple), cette proposition lui serait faite en exclusivité, cette exclusivité reste à déterminer (1 jour ou 1 semaine par exemple), si le joueur déclinait l'offre d'exclusivité, alors l'action serait revendue en bourse, s'enclencherait alors une enchère sur un jour ou une semaine par exemple. La valeur de référence de l'action en vente serait la valeur de l'action le jour précédent sa mise en vente. L'enchère pourrait aller en hausse comme en baisse par rapport au prix de base. Le joueur faisant la meilleure offre remporterait l'enchère et l'acquisition lui serait faite le lendemain, mais la valeur de base comme déterminée plus haut resterait la règle après l'achat. Bien entendu le joueur de la compagnie dont l'action est en vente pourrait aussi participer à l'enchère, mais il n'aurait plus l'exclusivité.
La comptabilisation de l'achat ou la vente d'actions dans la valeur de la cie acquéreuse ou vendeuse serait la valeur réelle (ou de base) du cours de l'action et non pas la valeur d'achat ou de vente payée.
Voilà, c'est fini ou presque....
Il pourrait y avoir également en plus une cinquième banque dédiée à l'achat/vente d'actions, mais, je pense qu'Eddy a une petite idée sur cette idée^^